Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Boulogne sur mer : une ville ben ordinaire. Vie politique judiciaire et anecdotique
3 février 2010

Cabale contre la SPA du Boulonnais : 5

  1. Mise en garde pour vue à la gendarmerie du Portel

 

pour avoir posé deux puces à un chien

 

abus de biens sociaux,

 

détournement d'héritage, etc.

 

16 février 2007.

 

Suite à la réponse du Sous Préfet Didier Leuliet dépose plainte devant le procureur.

 

7 décembre 2007

 

Je vois débarquer à 8 heures du matin 5 gendarmes en armes, de la brigade du Portel, non pas venus me porter un oiseau blessé, comme je le croyais, mais me faire écrire moi même (sous la menace d’un retour des gendarmes avec un document officiel du Procureur), ce que je suppose être ma demande de garde à vue et une autorisation de perquisition. Trop choqué pour comprendre réellement ce qui m’arrive, j’écris le document sous la dictée des gendarmes, plutôt rigolards.

 

Saisie des comptes et documents de la SPA des années 2007 2006 2005 2004 sans inventaire du contenu des boites en carton contenant les dits documents, que je remets aux gendarmes, à leur demande. Saisie d’un de mes ordinateur personnel, et de l’ordinateur de la SPA et du CD « Dora » de ma petite fille. L’ordinateur de la SPA m’était en partie inaccessible pour cause d’un mot de passe installé par Didier Leuliet et jamais communiqué à moi même ni à un membre du bureau. Les gendarmes auraient du se contenter de prendre les disques durs, de les copier et de me les rendre, la saisie de l’ordinateur en son entier ressemble plus à un vol sous la menace qu’à autre chose.

 

De plus le fait de ne pas voir fait d’inventaire des cartons permet aux gendarme d’y introduire ou d’en distraire n’importe quel document. De même le fait d’ouvrir les fichiers de mon ordinateur et de celui de la Spa hors de ma présence, permet tous les tripatouillages.

 

Le lieutenant Bouchendomme m’accompagne aux toilettes et à la porte la chambre de mon épouse, il lui déclare que je suis emmené car j’ai posé deux puces à un chien, puis je suis emmené en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie du Portel..

 

On peut donc envoyer cinq gendarmes armés, arrêter un vétérinaire parce que celui-ci a mis deux puces un chien : on croit rêver.

 

Je suis interrogé de façon musclée durant 6 heures, sans caméra, ni lecture de la plainte ni indication du plaignant.

 

Deux gendarmes m’interrogent, le lieutenant Bouchendomme joue le rôle du gentil (si l’on peut dire) et un de ses adjoints le rôle du méchant agressif. N’ayant rien fait à ce monsieur, dont je connais pas le nom, je suis obligé de lui rappeler les règles de base de la courtoisie, et lui dire "de me regarder autrement, car moi je ne lui ai rien fait du tout".

 

Le motif de la garde à vue évolue au fil de l’interrogatoire, en effet on oublie rapidement de la pose d’une double puce sur un chat ou un chien, puis on passe à un détournement d’héritage, là je suis obligé de leur expliquer que c’est le Préfet du Rhône qui recueille les héritages de la SPA et pas moi.

 

Puis nous passons à mon enrichissement personnel, les gendarmes en se relayant en tentant de me faire avouer que j’ai volé l’argent de la SPA, et que je me suis enrichi personnellement, accusation que je qualifie d’ignoble et je demande que ce terme soit inscrit sur le procès verbal.

 

Enfin nous passons à la violation de la loi de 1901, et on présente une version bizarre de la loi de 1901 que je connais pas mais que je retrouverai sur Internet, il s’agit donc d’un ragot Internet, probablement fourni par Didier Leuliet.

 

Le gendarmes se sont vantés qu’ils m’avait mis en garde à vue après 6 mois d’enquête, à mon avis ils ont pas enquêté du tout, et m’ont alpagué juste pour me faire craquer et me coller au trou.

 

Donc je sors de la gendarmerie 15 heures et quelques, et le « méchant » me reconduit chez moi dans la voiture de la gendarmerie.

 

A 19 heures je me rends malgré tout à la réunion de l'association NEB : Richard Honvault a convoqué cette réunion pour présenter sa liste des municipales. J'ai donc été mis enn gade vue le jour où l'opposant principal à F. Cuvilier présente sa liste : je ne crois pas aux coïncidences. J’annonce, avant la réunion de la liste, à Richard Honvault, ma tête de liste aux municipales que je viens de sortir de garde à vue. Le problème est que je suis troisième de liste.

 

Sentant le coup tordu politique, Richard Honvault passe outre et me garde sur la liste, à la même position.

 

11 décembre 2007

 

Article dans la Voix du Nord, quelqu’un a donc prévenu les journalistes, car avant de m’appeler ils ont eu le temps de téléphoner au procureur Lesigne, qui les a assuré de ma complète et entière innocence :

 

«je n’ai rien à reprocher à Monsieur ..., d’ailleurs je lui ai laissé la gestion de la Spa et de l’argent de la Spa », dixit Monsieur Lesigne, procureur de la République,  à Olivier Merlin, selon ce dernier.

 

La personne qui a prévenu les journalistes ne peut être qu’un gendarme ou une personne travaillant au tribunal.

 

La photo utilisée dans l'article est une photo d'un article du 1 octobre 2005 du même journal, un peu recadrée pour faire croire qu'elle est récente

 

Nous donnons ci dessous les deux photos. La photo ancienne et à gauche, elle a été recadrée à droite pour faire croire à une photo récente

 

VDN_1oct05_ VdN_11dec07_

 

Le Journaliste, Olivier Merlin, omet courageusement de citer le nom du plaignant afin de ne pas nuire à Didier Leuliet, par contre il cite complaisamment le nom de l'accusé, ce qui ne peut que nuire à l'accusé...

 

12 décembre 2007

 

Autre article dans la Semaine dans le Boulonnais : le vétérinaire Dr .... placé en garde à vue vendredi . Règlement de compte à la SPA ?

 

12-13 décembre 2006

 

Courrier de soutien des Docteurs Delroisse (envoyé à la Voix du Nord) Delozière envoyé à la Semaine dans le Boulonnais, de Florent et de Segard (envoyé à la Voix du Nord), Colombel vétérinaire et Maire de Wimille)

 

15 Septembre 2008

 

Madame M. P., vice présidente de la SPA, est entendue par le lieutenant Bouchendhomme, il veut savoir depuis quand elle est à la SPA (elle ne sait plus), comment elle y entrée, depuis quand elle fait partie du bureau (elle ne sait plus, et de tout façon c’est les gendarmes qui ont le registre). Il veut savoir comment se passent les réunions, pourquoi elle ont lieu chez moi et pas à la Spa (Martine se souvient plus que c’est à cause de Didier qui, sans le demander au Bureau de la SPA, a ramené les meubles de la LPA de Calais). Le lieutenant Bouchendhomme a longuement interrogée M. P. sur les membres sympathisants, (autre obsession de Didier), en essayant de la faire se contredire, pourquoi n’y en avait plus, pourquoi ils venaient pas au réunions. M. P. lui a répondu qu’avant les emmerdements avec Didier, et la dernière AG, tout le monde venait, qu’elle passait un annonce dans les journaux, et que si les membres sympathisants posaient problème, on allait les supprimer. Enfin le lieutenant Bouchendhomme a interrogée M. P.sur l’argent et comment j’achetai les actions et les SICAV. Elle lui a répondu que c’était après décision du bureau.

 

Pas plus qu’avec moi, le gendarme ne cherche la vérité, ses questions répétitives reflètent les obsessions de Didier.

 

D’autre part les gendarmes ne sont pas intéressés au pourquoi de la plainte de Didier, ce qu’elle pourrait cacher, bien que je leur ai raconté, par exemple, le trafic de nourriture.

 

M. P. a aussi expliqué au gendarme que la plainte de Didier était une vengeance personnelle, car elle suivait de très peu la reprise de la maison. Là le lieutenant Bouchendhomme a pris fait et cause pour Didier en expliquant que l’attitude Didier était normale, que c’était un brave garçon méritant, qu’il s’était investi dans la SPA, et qu’il avait été chassé sans raison de son logement. Ma aussi expliqué au gendarme que la plainte de Didier était une vengeance personnelle, car elle suivait de très peu la reprise de la maison. Là le lieutenant Bouchendhomme a pris fait et cause pour Didier en expliquant que l’attitude Didier était normale, que c’était un brave garçon méritant, qu’il s’était investi dans la SPA, et qu’il avait été chassé sans raison de son logement. a aussi expliqué au gendarme que la plainte de Didier était une vengeance personnelle, car elle suivait de très peu la reprise de la maison. Là le lieutenant Bouchendhomme a pris fait et cause pour Didier en expliquant que l’attitude Didier était normale, que c’était un brave garçon méritant, qu’il s’était investi dans la SPA, et qu’il avait été chassé sans raison de son logement. M. P. lui a fait remarquer que tous les personnes dont les propriétaires reprenaient le logement ne se conduisant pas de la sorte, le lieutenant Bouchendhomme lui a expliqué que le monde changeait et l’attitude de Didier devenait la norme et qu’il allait falloir s’y habituer, sic.

 

Là on se pose de la question du lien qui unit Didier et les gendarmes.

 

En attendant, avec cette longue enquête, Didier a eu tout le temps de planquer ou de faire disparaître de chez lui tous les documents compromettants. Ceci dit, je serai curieux de voir les ordinateurs de Jérémie Marion et Jean-Michel Sauvage

Publicité
Publicité
Commentaires
Boulogne sur mer : une ville ben ordinaire. Vie politique judiciaire et anecdotique
Publicité
Publicité